Contrairement à sa promesse, la municipalité cherche à reconstituer l’équivalent des Halles sur le site de la CIGV (en y implantant le même type de commerces : boucher, poissonnier, primeur, etc.)
À l’inverse, le pôle cinématographique ne comportera pas les quatre salles consacrées à l’art et essai annoncées pour rendre le projet plus acceptable devant la Commission nationale d'aménagements cinématographiques.
Les dépenses se multiplient dans la perspective de l’ouverture (frais de communication, recrutement d’agents publics…), dans l’opacité la plus complète, sans présentation d’un budget prévisionnel pour le pôle culturel.
Nous continuons à exiger la présentation d’un rapport financier annuel - prévu par la loi - sur l’ensemble de cette opération immobilière.
Nous rappellerons à cette occasion notre proposition de renoncer à la dernière tranche de constructions immobilières (5 immeubles le long de l'Ouche pour un total de 270 logements) au profit d'un parc de près de deux hectares, qui valoriserait le patrimoine et compenserait la densification extrême du sud dijonnais.
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