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Salut <<Votre prénom>>,
Il était une fois Isaac Newton assis sous un arbre recevant une pomme sur la tête. Le reste fait partie de l'Histoire : les principes de la loi de la gravité sont établis. Ce qui monte doit irrémédiablement redescendre.
Ce serait le cas de la newsletter. Depuis la publication dans le New York Times de l'article "Are We Past Peak Newsletter?", la rumeur enfle. La bulle aurait explosé. D'ailleurs Meta abandonne Bulletin, son service dédié au format. Pire, Substack, LA plateforme porteuse de la nouvelle ère de l'infolettre réduit les avances faites aux auteur·ices.
Notre réponse : lisez l'intégralité des articles avant de jouer les faux prophètes. Le format qui se meurt n'est pas LA newsletter, mais une forme de newsletter. Celle à faible valeur ajoutée, qui pollue les boîtes mails pour nous annoncer une nouvelle promo, la sortie d'un nouveau produit, d'un nouvel article sans aucune réflexion derrière.
Par contre, les newsletters informatives, celles qui apportent réellement quelque chose à la cible ont encore de beaux jours devant elles. La preuve : le NYT continue d'étoffer son offre, le média Puck déclare que ses abonnements payants augmentent de 20% chaque mois et, chez Decriiipt, nos résultats (taux d'ouverture et de clics) n'ont jamais été aussi bons.
Conclusion, de nouveaux mots doivent être créés. Nos pistes de réflexion :
- les trashmails pour les newsletters sans intérêt.
- les infolettres comme disent nos ami·es du Quebec (coucou Lucile).
- les usefulletter pour les contenus à très forte VA.
Vous avez d'autres idées pour nommer ce nouveau contenu ?
Bises et UX,
Votre dévouée Decriiipt
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Les 7 points à retenir du Paris Podcast Festival 2022
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Audience, perception du média, appropriation par les marques, budgets, créativité, promotion. Christopher et Aurélie étaient au Paris Podcast Festival et voici les 7 points qu'ils en ont retenu.
3 raisons de lire cet article :
- Avoir les bons arguments pour convaincre votre N+1 de se lancer dans l'aventure du podcast. Chiffres exacts et actuels à l'appui.
- Réfléchir à votre stratégie podcast. La création est-elle le seul moyen de profiter de l'aura du média ? On vous spoile un peu : non.
- Avoir un œil sur les dernières tendances. Pour comprendre ce qui fonctionne, stopper ce qui ne fonctionne plus et anticiper ce qui explosera demain.
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NIMSCELS
Nom non-genré. Acronyme de Niche Internet Micro Celebrities. Utilisé pour définir les individus lambda dont le contenu explose sur les internets.
Un nouveau mot pour décrire les influenceurs ? Pas du tout. Si le terme NIMSCELS fait son apparition dans notre vocabulaire, c'est justement pour faire la différence entre, d'un côté, les influenceur·ses, des professionnel·les des réseaux sociaux et Monsieur et Madame-Tout-Le-Monde qui s'amusent sur internet et explosent.
C'est quoi la différence ? Le but recherché lors de la création des contenus. En effet, les influenceurs et les NIMSCELS pourront produire des contenus très similaires, mais l'objectif derrière ne sera pas le même. Pour le premier, il s'agit de générer de la visibilité pour sa marque (à savoir lui-même) et de monétiser son contenu. Pour le second, le but recherché est beaucoup plus simple : s'amuser et amuser les autres. Rien de plus, rien de moins.
Pourquoi c'est intéressant ? Cette distinction dans l'objectif du contenu permet de légitimer un peu plus l'activité d'influenceur et de l'ancrer comme une profession codifiée qui répond à des enjeux financiers et de branding forts.
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L'outil dont on voulait vous parler
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Cowop
La plateforme de mise en relation entre frees, entrepreneur·ses et autres salarié·es fatigué·es de travailler en solo.
Le principe est simple : organiser des sessions de coworking avec de parfaits inconnus dans le même domaine que soi ou pas. Chez soi, dans des espaces dédiés ou chez d'autres coworkeurs.
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6 Français·es sur 10 acceptent de partager leurs données personnelles
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Avec la fin annoncée des cookies tierce, il faut plus que jamais miser sur la data first party. La dernière étude de Kantar devrait vous éclairer sur le sujet : près de la moitié des Français·es acceptent de partager leurs données personnelles (âge, genre, profession, centres d'intérêt, derniers achats réalisés) en échange de réduction sur leurs prochains achats.
Un procédé qui, s'il devrait fonctionner pour de nombreuses marques, risque de creuser l'écart entre celles et ceux en capacité de payer pour conserver leurs données et les autres. Une nouvelle forme de discrimination ?
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Emploi et démission : la balance maudite
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- Le mal-être au travail existait bien avant la pandémie. Aux RH et managers de le reconnaître. Une interview de Jon Cliffon, PDG de Gallup, à lire ici.
- L'herbe est plus verte dans le pré d'à côté. Mais vous restez dans celui-ci. Explications de ce qu'est l'effet du choix par défaut et pistes de réflexion pour s'en débarrasser.
- On recrute ! En CDI, en stage, en alternance ou en free. Intuiti est toujours à la recherche de nouveaux talents. Pour en savoir plus sur nos offres d'emploi, c'est par ici. Sinon, vous pouvez également nous envoyer un message par là.
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Quoi de neufs chez les géants ?
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Livraison de mauvaises nouvelles
- Chez les GAFAM, ça licencie à tour de bras. Zoom sur les situations différentes mais pas tant que ça de Twitter et Meta.
- TikTok sous le feu des projecteurs. Dans un dossier de 3 articles, le Washington Post s'intéresse à la montée de TikTok, aux rouages de son succès, à ses conséquences sur notre santé mentale et aux enjeux politiques autour du géant.
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Avec la sortie de Midnights, son 10ème album studio, Taylor Swift bat tous les records. Si la qualité de son écriture et ses ponts musicaux dignes du Golden Gate expliquent une partie de son succès, sa stratégie marketing savamment pensée au fil des années n'y est pas pour rien.
- Un marketing de la rareté. Taylor Swift est discrète. Très discrète. Pour Midnights, pas de promo, elle mise tout sur les réseaux sociaux et l'engagement de ses fans. Au total : un tweet et 17 vidéos TikTok avant la sortie de l'album. Rien de plus.
- Une parfaite compréhension de la cible. En les observant. En les écoutant. La cible veut des extras ? Elle aura 7 chansons de plus. Un clip pour son hit All Too Well ? Elle l'aura (près de 10 ans après la sortie initiale du morceau).
- Savoir s'adapter aux canaux. Twitter n'est pas Instagram qui n'est pas TikTok. Pour le même message, la star de la pop transforme son contenu pour qu'il s'intègre parfaitement au canal utilisé. Typiquement : des photos léchées sur Instagram et des vidéos challenges sur TikTok.
- Privilégier les longs formats. Chez T.Swift, pas de single. Les morceaux doivent s'écouter ensemble. Ce qui lui permet de placer 10 titres aux 10 premières places du Billboard Hot 100.
- Penser long terme. Très long terme. Avec des easter eggs révelés au fur et à mesure, prévus jusqu'à trois ans à l'avance. Sorte de chasse au trésor qu'elle mène avec ses fans et qui permet de toujours faire parler d'elle, y compris quand elle disparaît des radars pendant un an.
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